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Chronique 2009 - De Janvier à Mars

Climat et écarts à la normale des températures et des pluies en 2009

 

Évènements météo marquants de janvier à mars 2009

 

 

Début janvier 2009 : Le froid qui a débuté au lendemain de Noël sur une grande moitié Nord a tendance à s’accentuer dans les premiers jours de l’année, sauf dans le Sud-ouest. Il gèle jusque sur les côtes de la Manche.

 

 

Le 2 janvier 2009, de la neige industrielle est observée sur l’IDF. Elle est liée à une arrivée d’air très froid de Normandie (-6° à Deauville). Le 4 janvier 2009, les températures minimales descendent en dessous de -5° sur les trois-quarts du pays. On atteint -12° à Luxeuil-les-Bains (70), -18° à Morteau (25), -26° à La Brévine (canton de Neuchatel, Suisse - en face Mouthe), -10° à Beauvais et -6/-8° en banlieue parisienne.

 

 

Le 5 janvier 2009, une zone de neige envahit la moitié Nord de la France puis les régions de l’Ouest en soirée. Il neige toute la journée en IDF et cette neige tient dans Paris (5cm sur la région). On mesure jusqu’à 8 cm en Eure-et-Loire, Poitou, Touraine.

Paris (Arc de triomphe) sous la neige du 5 janvier 2009

 

 

De l’air glacial venu de Russie gagne ensuite la France. Le lendemain 6 janvier 2009, les températures ne dépassent pas -7° à St Quentin et -4° à Paris. Il fait -13° en Belgique. Des chutes de neige imprévues forment une couche de 6cm à Grenoble et sur tout le Dauphiné. Il neige également abondamment à Tarbes et l’arrière-pays Niçois est touché par les flocons en soirée.

 


6 janvier 2009 : Une route des Charentes

 

 

Le 7 janvier 2009 au matin, il fait moins de -10° de la Belgique aux Pays de la Loire avec -18° sur le nord de l’Oise (Rouvroy-Merles) et Houdan (78), -16° à Achères (78), -15° au Mans, -12° à Longchamps (Paris) et -9° dans le centre de Paris.

 

Vague de froid début janvier 2009 - Températures relevées le 7 janvier 2009 à 8h en Europe et en France

 



D’autre part (toujours le 7/01/2009 au matin), une grande partie des Bouches du Rhône dont Marseille est enseveli sous 20 à 30cm de neige.
On a relevé 15 cm à Aubagne, 20 cm sur Marseille et Istres, 29 cm sur l'aéroport de Marignane, 25 à 30 cm à Aix-en-Provence, 40 cm et Mimet et 50 cm entre Vitrolles / Marignane. Une telle situation ne s’était pas produite depuis 1987, 1963 ou 1941. L’agglomération marseillaise est paralysée et certains automobilistes resteront bloqués dans leur véhicule durant des heures. Plusieurs dizaines de milliers sont ravitaillés par des colonnes de secours. 17.000 foyers sont privés électricité (en raison des milliers de branches de pins cassées sur les lignes électriques). Transports en commun, TER et TGV sont restés dans les dépôts. La fermeture de l’aéroport Marseille-Provence pour la journée du 7 janvier a piégé dans l’aérogare près d’un millier de voyageurs.



Tempête de neige du 7 janvier 2009 à Marseille et dans les Bouches du Rhône - Marseille en pleine tourmente - Vitrolles (13) a reçu plus de 30cm de neige ! 

 



Dans la nuit du 7 au 8 janvier 2009, Toulouse est à son tour paralysée (mais la couche de neige est moins épaisse). Un polémique s’installe alors sur l’organisation des pouvoirs publics en situation de crise.
Ces chutes de neige gagnent même la côte basque où la température maximale ne dépasse pas -2° le 8 janvier (du jamais vu depuis 1987).



St-Jean-de-Luz sous la neige du 8 janvier 2009

 

 

 

Le 9 janvier 2009 : D’autres chutes de neige ont lieu sur le Roussillon et une deuxième invasion d’air froid gagne le pays dans la nuit. Il fait moins de -5° sur les trois-quarts du pays, et d’une manière générale moins de -10° au nord de la Seine (-18°2 à Rouvroy-Merles (60), jusqu’à -13°6 en Ile-de-France (Orgerus - 78), -15° à Beauvais et -11/-13° en Alsace-Lorraine et Champagne).


La neige vue du satellite, le 9 janvier 2009

 

 

 

Le 10 janvier 2009, toutes les régions allant de la Belgique au nord de l’Aquitaine ainsi qu’une partie du Sud-est et Midi-Pyrénées, sud de l’Aquitaine étaient enneigées.
La vague de froid se termine entre le 11 et le 13 janvier 2009 selon les régions (et même un peu plus tard en Alsace et Franche-Comté). 

 



Le 14 janvier 2009 au matin, des pluies verglaçantes paralysent Lyon et sa région. Elles concernent également l’est de la Lorraine. Il neige en Alsace.


Les pluies verglaçantes qui ont touché Lyon le 14 janvier 2009

 

 

Week-end des 23 et 24 janvier 2009 : Deux tempêtes frappent la France (dont un événement majeur dans le Sud-ouest).

 

23 janvier 2009 : Une dépression circule sur le sud de l’Angleterre et engendre des vents forts à très forts sur les trois-quarts de la France, notamment sur le Nord-est et dans la vallée du Rhône. Les rafales sont comprises entre 80 et 100 km/h (96 en région parisienne et 109 km/h à Lyon Satolas).

 

24 janvier 2009 : le cauchemar de la tempête KLAUSS...


Le scénario de 1999 (tempête Martin) se reproduit presque à l’identique… Une dépression (Klauss) se creuse sur le proche Atlantique et déclenche un véritable ouragan sur un grand quart Sud-ouest ainsi que sur le Languedoc-Roussillon et la Corse. 1 722 200 foyers se retrouvent sans électricité et les dégâts s’élèvent à près de 3 milliards d’euros.


Les rafales de vent maximales sont de:
191 km/h au Cap Béar (66)
183 km/h à Perpignan
172 km/h au Cap Ferret (33) et à Biscarosse (40)
161 km/h à Bordeaux
152 km/h à Leucate (11)
141 km/h à Mont-de-Marsan (40)

 

 
Les dégâts de la tempête KLAUSS du 24 janvier 2009 : Forêt ravagée dans le sud du Tarn-et-Garonne et Toulouse après la tempête



La côte Atlantique dans la tempête KLAUSS du 24 janvier 2009

 

La tempêtes du 23 janvier 2009 et Klauss du 24 janvier 2009



Tempête Klauss - le 24 janvier 2009 à 6h

 

Tempête Klauss du 24 janvier 2009 - Rafales maximales en fonction de la position de la dépression - source: Météo-France

 

Tempête Klauss du 24 janvier 2009 - Rafales maximales et indice de sévérité - source: Météo-France

 

En matinée du 24 janvier 2009, les Poids-Lourds de plus de 7.5 tonnes sont interdits sur l’ensemble des régions du Sud-ouest. A 7 h, plus de 800 000 foyers sont privés d’électricité dans le Sud-Ouest et 1 722 200 sur l'ensemble du territoire.

Sur le bassin d’Arcachon, le vent dévaste infrastructures portuaires et bateaux, notamment à Andernos. Le Cap Ferret est isolé du reste du pays.

On estime que 680 000 hectares de terres agricoles sont impactées pour 42 millions de m3 détruits. Certaines parcelles de la forêt landaise sont touchées à 60 %, avec 300 000 ha de forêts détruites, notamment vers Morcenx, Rion-des-Landes, Arjuzanx, Commensacq, Trensacq et Losse. À Bordeaux, où la Garonne déborde, près de 500 arbres sont déracinés ou abattus.

9 départements sont placés en vigilance rouge - le vent moyen et en rafales et peut être comparée aux tempêtes de 1999.

On dénombre 12 victimes en France, et de nombreux blessés (plus de 400, dont plus de 80 graves). En Europe, le bilan est de 28 morts, dont 11 en Espagne.

 

 


Fin janvier 2009 : Des pluies abondantes (entre autre déversées par le tourbillon de Klauss) occasionne des inondations dans le bassin de la Garonne, ralentissant les réparations après de passage de la tempête. D’autres crues sont observées dans les Ardennes. En 3 jours, il tombe parfois plus de 100 mm.

 

Inondations de la fin janvier 2009 au passage de Klauss - Cumuls de pluie entre le 22 et le 24 janvier 2009

 


Les inondations de Mont-de-Marsan après le passage de Klauss du 24 janvier 2009

 

 


2 février 2009 : Une perturbation venue de Méditerranée occasionne de fortes pluies et des inondations sur le Languedoc-Roussillon. Il tombe localement 150 à 200 mm sur les Cévennes.
Quelques inondations ont été observées à Montpellier.
En arrivant dans l’air froid, les pluies sont précédées de neige sur quasiment toutes les régions situées au nord de la Loire. Il tombe en moyenne 5cm en Ile-de-France et la couche est plus importante à l’ouest de la région (5 à 10 cm) ainsi qu’en Normandie où elle persiste toute la journée. Il neige également en Bretagne.

 


2 février 2009 :  L’Ile-de-France sous la neige (pour la 2eme fois de l’hiver)

 



Samedi 7 février 2009 : De l’air beaucoup plus froid arrive par l’ouest et occasionne des averses de neige en Bretagne, Normandie puis sur l’Ile-de-France où une petite dépression se forme. l’est du 78 et du 95 ainsi que le 60, le nord du 92, le 93 et le nord du 77 sont affectés par des chutes plus importantes qui causent des problèmes de circulation sur l’A12 et l’A13. On mesure jusqu’à 5/7cm sur le plateau de St-Quentin-en-Yvelines.



7 février 2009 : Neige imprévue près de Meudon

 



Mardi 10 février 2009 : La tempête Quinten touche une grande moitié Nord de la France. Une puissante dépression remonte la Manche à 975 hpa et occasionne des vents à plus de 100 km/h sur une très large zone allant du Poitou-Charentes au Nord-est.

Les rafales les plus fortes ont été observées sur les côtes avec 141 km/h à l’Ile-d’Yeu (Vendée) et 141 km/h sur la Pointe du Raz (Finistère). Dans l?intérieur des terres, on a relevé 135 km/h à Fontenay (Vendée), 130 km/h à La Souterraine (Creuse), 127 km/h à Bourges (Cher), 124 km/h à Orly (Essonne), et 121 km/h à Mulhouse (Haut-Rhin). Notez qu’en altitude, le vent à soufflé à: 137 km/h à la Tour Eiffel (313 mètres), 127 km/h à St-Gervais d’Auvergne (705 mètres), 139 km/h au Mont St Vincent (Bourgogne - 603 mètres), 227 km/h au Puy de Dôme (1415 mètres), 203 km/h à Belmont (dans les Vosges - 1065 mètres).

924 000 foyers, sur 62 départements, sont privés d’électricité, notamment en Vendée, Charente-Maritime et en Bourgogne. De nombreuses toitures sont endommagées.

 

 

Évolution de la tempête Quinten le 10 février 2009 entre 00h et 06h

 

 

Tempête Quinten du 10 février 2009 - indice de sévérité et rafales de vents maximales

 



Tempête Quinten du 10 février 2009 - Quelques dégâts sont observés à Ronce-les-bains (Charente-Maritime)

 



Mercredi 11 février 2009 : Une perturbation très active vient se bloquer au pied des Pyrénées et l’Adour, la Nivelle ainsi que la Gave sont en crue. D’importantes avalanches se produisent sur les Pyrénées.



Inondations du 11 février 2009 à Lasseube (64)

 



Vendredi 13 février 2009 : Une zone de neige touche la Haute Normandie, la Picardie, l’Ile-de-France avec localement 5/7 cm (rien dans le centre de Paris) puis elle descend sur le Centre et tout le Massif central. 



La neige du 13 février 2009 au parc de Guyancourt (78) - comme ce fut le cas sur l’ensemble de la région en début de matinée

 



Lundi 16 février 2009 : La neige touche de nouveau tout la quart Nord-est, notamment la région de Metz où il tombe jusqu’à 8 à 10cm. La neige ne fond que très lentement en fin de journée. 



La neige du 16 février 2009 à Petit Ebersviller (57)

 

 

Climat et écarts à la normale des températures et des pluies en 2009

Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Montpellier

Meteo-montpellier.fr. est un site météo uniquement dédié à Montpellier. Déjà une référence à Paris (plus de 100 000 visiteurs quotidiens) et dans d’autres grandes villes, ce service météo entièrement gratuit est de grande qualité. Plusieurs météorologistes locaux suivent la situation météo en permanence et réactualisent ainsi leurs prévisions plusieurs fois par jour en les affinant à chaque fois que la situation le nécessite; il en est de même pour les prévisions à 12 jours. Ce qui fait que meteo-montpellier.fr est sans doute le site météo local le plus réactif.

Il a été créé par Guillaume Séchet (webmaster de meteo-villes.com, météorologiste , présentateur sur BFMTV et ex-présentateur à La Chaîne Météo, spécialiste et auteurs d’ouvrages sur les évènements climatiques).

Notre ville de MONTPELLIER

Montpellier (en occitan Montpelhièr) est une commune française, située dans le département de l’Hérault (dont elle est la préfecture) et de la région Languedoc-Roussillon (dont elle est le chef-lieu). Montpellier se situe sur un grand axe de communication joignant l'Espagne à l'ouest, à l'Italie à l'est, proche de la mer Méditerranée (7,1 km).
Sa superficie est de 57 km² pour une altitude située entre 8 et 119 m.
Sa population est d’environ 258.000 habitants.

Le climat de Montpellier est méditerranéen, avec des étés chauds et des hivers doux accompagnés parfois de fortes pluies (épisodes Cévenols liés à la proximité des contreforts du Massif Central sur lesquels les masses d’air humides en provenance de Méditerranée viennent parfois se bloquer lorsqu’un fort courant de sud se lève). Notez quand même que les gelées y sont plus fréquentes que sur la Côte d’Azur car l’air froid qui descend parfois de la vallée du Rhône arrive plus facilement. Notre ville est d’ailleurs située entre l’influence du Mistral et de la Tramontane, d’où des prévisions météo parfois très complexes (ce carrefour climatique en fait l’une des villes Française où le temps est le plus difficile à prévoir !) Il pleut en moyenne 61 jours / an avec un cumul de 629 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 2686 h (le record étant détenu par les Iles du Levant, dans le Var, avec plus de 3000 h par an).

L'histoire de Montpellier : Notre ville vit le jour au cours du XI ème siècle Le comte de Mauguio offre deux manses à Guilhem pour le féliciter de sa loyauté. Les héritiers de Guilhem vont alors développer la grandeur de leur famille à travers le bourg de Montpellier qui cohabitait au côté du village de Montpelliéret, propriété de l'évêque de Maguelone.
C’est au 13è siècle que ces deux villages vont être réunis à l'intérieur de nouveaux remparts fortifiés. En 1204, la ville devient espagnole suite au mariage de la fille de Guilhem VIII, Marie de Montpellier, avec Pierre d'Aragon. Elle sera revendue (la ville) au Roi de France en 1349. Cette période marque aussi un développement économique et culturel de la ville. Les marchands de Montpellier traitaient avec l'Orient l'achat d'épices et de plantes thérapeutiques dont les vertus étaient enseignées dans la toute nouvelle Université de médecine créée au XIIIème siècle. Des écoles de droit et d'art virent également le jour à cette époque. L'Université de Montpellier va se développer et son excellente réputation va attirer des étudiants de tout le Royaume (Rabelais y finit ses études de médecine en 1530).
A la fin du 14è siècle, Montpellier va connaître une période de déclin avec l'arrivée de catastrophes ( épidémies de peste entrecoupées de périodes de famine) qui vont dévaster une partie de la population.
Il faudra attendre le milieu du 15ème siècle avec l'installation de Jacques Coeur, l'argentier du roi Charles VII pour que le commerce redevienne florissant. Seulement, le rattachement de la Provence à la France en 1481 va marquer définitivement la fin de cet essor car Marseille va devenir le premier port de commerce avec l'Orient du Royaume.
Au 16è siècle, l'arrivée de la Réforme à Montpellier va marquer le début d'une ère de luttes religieuses entre catholiques et protestants. Ils vont successivement prendre le contrôle de la ville jusqu'a l'intervention de Louis XIII en 1622. Ses troupes firent le siège de la ville durant trois mois, Richelieu construisit par la suite la citadelle pour surveiller la ville. Ce siège eut pour conséquence le départ de nombreux protestants au profit des Montpelliérains catholiques. Louis XIV, dont la statue trône sur la promenade du Peyrou va faire de Montpellier la capitale administrative du Haut-Languedoc.
Le 17è et le 18è siècle furent le théâtre d'un fort développement architectural avec les travaux de célèbres architectes tels Daviler et les Giral. Ils construisirent la promenade du Peyrou, l'Esplanade et de nombreuses fontaines. De riches hôtels particuliers et églises (Saint Denis) ont également été construits par des hauts fonctionnaires et marchands durant cette période.
Au 19ème siècle la viticulture va fortement se développer, favorisant ainsi un nouvel essor achitectural avec la construction du Palais de justice, de la gare et la reconstruction du théâtre mais aussi de nouvelles églises comme Sainte Anne et Saint Roch. La viticulture, prospère aujourd'hui en Languedoc, a connu une période noire avec le Phylloxera et les problèmes liés à la surproduction.
La ville de Montpellier connaît au 20ème siècle un accroissement important avec en premier lieu l'installation des "pieds noirs" en provenance d'Algérie suivi, à la fin du siècle, de la création de pôles économiques autour de la vieille ville. La Paillade (quartier résidentiel) est le résultat de cet accroissement soudain de la population. La ville va être à l'origine de nombreux projets urbains en réhabilitant des quartiers entiers ou en construisant de nouveaux à la périphérie de cette ville en permanente mutation. Le quartier d’Antigone part de la place de la comédie et du centre commercial du Polygone pour rallier le nouvel Hôtel de Région qui vit ainsi le jour. Suit le quartier de Port Marianne le long des rives du Lez. Pour développer le dynamisme économique de Montpellier, cinq grand pôles d'activités ont été créés. Euromédecine accueillant des laboratoires de recherche, Agropolis pour l'agro-alimentaire, Antenna pour le secteur audiovisuel aujourd'hui en plein développement, Héliopolis pour le développement du tourisme et de la culture très importants en Languedoc, et un pôle informatique s'est créé avec l'implantation d'IBM dans les années soixante suivi par l'entreprise Dell.
Aujourd'hui, la ville de Montpellier est une capitale régionale administrative, économique et culturelle. Ville très touristique, elle offre de nombreux lieux de visites, héritage de son passé médiéval, elle propose aussi de nombreux événements culturels(le festival Montpellier Danse, le Festival international du cinéma méditerranéen). Enfin, le littoral de l'Hérault très riche vous offre des balades, des visites magnifiques sans compter les nombreux loisirs et activités sportives.

Les principaux centres d’intérêt de Montpellier sont : la Basilique Notre-Dame des Tables, la Cathédrale Saint-Pierre, le Château de Mogère, le Châteu d’Ô, la Citadelle, la Fontaine des Trois Grâces, le jardin des plantes, de nombreuses grandes écoles et la Place de la Comédie.