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Chronique 1996

Climat, météo et écarts à la normale des températures et des pluies en 1996

Repères historiques de l'année 1996

11 janvier 1996: mort de François Mitterand
mars 1996: la maladie de la vache folle panique l’Europe
17 juillet 1996: un Boeing de la TWA explose au large de Long Island
27 juillet 1996: les jeux olympiques d’Atlanta sont marqués par un attentat - la France récolte 37 médailles
août 1996: l’affaire Dutroux révolte la Belgique

 

 

Évènements météo marquants de l’année 1996 :

 

 

Entre le 10 et le 12 janvier 1996 : déluge et inondations dans le Sud-est (notamment sur la Côte d’Azur). Nombreux dégâts dans les Alpes-de-Haute-Provence (Entrevaux et Annot déjà inondés début novembre 1994), l'Est du Var (Draguignan, Saint-Tropez, Estérel et vallée de l’Argens). Le Loup et le Var débordent. Grasse et Cannes sont gravement inondées, des villas sont évacuées près de Grasse, ainsi que les aéroports de Cannes et de Nice-Côte d’Azur.

 


Inondations du 13 janvier 1996 sur la Côte d'Azur

 

L’aérodrome de Cannes-Mandelieu inondé par la Siagne, le 12 janvier 1996

 

Cumuls de pluie du 10 au 12 janvier 1996 dans les Alpes-maritimes - carte Meteo-France

 

 

Du 26 au 29 janvier 1996 : courte vague de froid au Nord de la Loire - pas de dégel le 26 janvier 1996 où la température maximale atteint seulement -6° à Lille et Dunkerque, -3° à Paris. Le 29 janvier 1996 : pluies verglaçantes sur l’Ile de France et la Champagne.

 


Le 28 janvier 1996, de violents orages touchent 87 communes du département de l’Hérault. La majeure partie des précipitations se concentre en fin d’après-midi du 28 janvier 1996 et dans la nuit du 28 au 29 janvier 1996, par blocage d’une cellule orageuse très active, à l’ouest du département de l'Hérault. Il tombe 155 mm à Murviel-lès-Béziers dont 94 mm en 6 heures, 206 mm à Brenas (Hérault). Une vague d’eau boueuse traverse le village de Puisserguier (Hérault), emportant tout sur son passage. On compte 4 morts !

 

Cumuls de pluie dans la journée du 28 janvier 1996 dans l'Hérault

 

La catastrophe de Puisserguier, le 28 janvier 1996

 

 

6 février 1996 : Tempête - Une petite dépression traverse très rapidement la France entre la Manche et la Méditerranée, engendrant des rafales de 100 à 130 km/h sur le littoral Atlantique, le piémont pyrénéen et le Languedoc-Roussillon. D'autre part, il neige sur le Languedoc et la Provence - 5cm à Nîmes, 3cm à Orange.

7 février 1996 : Une 2eme violente tempête (plus forte que la précédente) prend quasiment la même trajectoire car propulsée par un puissant courant jet.

Le bilan de cette tempête particulièrement violente sur les régions de l'Ouest et du Sud est de 5 morts ainsi que des dizaines de blessés dans le Sud-Ouest de la France. 1.5 millions de m3 d’arbres sont déracinés dans la forêt landaise, 100 000 abonnés EDF sont sans électricité en Bretagne, 260 000 dans le Sud-Ouest, de nombreuses toitures sont envolées. La circulation ferroviaire est fortement perturbée par la chute d’arbres sur les voies, des bateaux de plaisance rompent leurs amarres en Charente-Maritime car les plus fortes rafales coïncident avec la marée haut. La Garonne déborde à Bordeaux et inonde plusieurs quartiers. La Dordogne déborde à Ambès (33) et à St-Louis-de-Montferrand (33). Les rafales les plus fortes atteignent :

  • 180 km/h à la Pointe du Raz,
  • 176 km/h au Cap-Ferret,
  • 162 km/h à Sète,
  • 133 km/h à Quimper, Guérande et Cognac,
  • 130 km/h à Carcassonne
  • 122 km/h à Pau, Tarbes.


 

Tempête du 8 février 1996 - Rafales de vent maximales

 

Tempête des 7 et 8 février 1996 - Rafales de vent maximales

 


Tempête des 7 et 8 février 1996 - indice de sévérité



Les dégâts de la tempête, du 7 février 1996 en Aquitaine.

 

Le 7 février 1996 (au passage de la 2eme dépression), des chutes de neige sont signalées sur les 4/5e Nord et Est de la France

Stations météo où la neige a été observée le 7 février 1996

 

 

Du 19 au 22 février 1996 : 2eme épisode froid - fortes chutes de neige sur le littoral du nord de la Bretagne, la Normandie et le Nord Pas de Calais - véhicules bloqués dans le Calvados - températures de -12° à Reims, -11° à Poitiers, -9° à Orléans. Il tombe 15 a 30 cm de neige et même jusqu’à 50 cm à Mortain (Manche) avec congères de 2,50 m.

 

Vague de froid du 19 au 22 février 1996 - analyse météo du 22 février 1996

 

Températures minimales du 22 février 1996 - vague de froid de février 1996

 

 

Les 23 et 24 mars 1996 : réveil spectaculaire du printemps - il fait par exemple 27° à Biarritz et 25° à Angers.

 

Grande douceur du 24 mars 1996 - analyse météo et températures maximales

 

 

Avril 1996 : Après un hiver déjà très sec, le débit des cours d’eau et notamment devient très faible - pour la Seine (à Paris), il s’agit du débit le plus faible depuis août 1976.



27 mai 1996 : très frais sur toute la France avec quelques averses de grésil à Saint-Dizier (à l’est du Bassin parisien).


Descente froide tardive du 27 mai 1996

 

Les 6 et 7 juin 1996 : première véritable vague de chaleur sur toute la France - il fait partout plus de 30° avec 34° à Paris et 33° à Nancy - taux de pollution important dans les grandes villes.

 

Vague de chaleur précoce des 6 et 7 juin 1996

 

 

7 et 8 juillet 1996 : Épisode particulièrement frais pour la saison entre le Sud-ouest, le Massif-central, le Nord des Alpes et les régions du Nord-est. Le 7 juillet 1996, il ne fait pas plus de 11° à Guéret, 12° à Limoges, 13° à Clermont-Ferrand, 13° à Lyon, 14° à Mâcon et Dijon, 15° à Bordeaux, 16° à Dax. Le 8 juillet 1996, il neige au-dessus de 1800 m dans le Nord des Alpes. L'étape du tour de France est annulée en raison de la neige au col de L'Iseran (2770 m) et du Galibier (2642 m).

 

Fraîcheur record des 7 et 8 juillet 1996

 

La neige au col de l'Iseran (Savoie - alt. 2770 m) le 8 juillet 1996

 

 

24 juillet 1996 : un terrible orage provoque une crue furieuse de l’Arbonne à Bourg St Maurice - 400 habitants et 500 vacanciers sont chassés en pleine nuit - il tombe 74mm de pluie en quelques heures - 133mm à la station de Tignes.



Orage et torrent de boue du 24 juillet 1996 à Bourg-Saint-Maurice : Les rues de Bourg-St-Maurice coupées par le torrent de boue…

 

7 août 1996 : Le camping de Biescas est balayé par la crue torrentielle du Rio Aras dans les Pyrénées Aragonaises (non loin de la frontière française). L'orage déverse plus de 200 mm en moins de 3 heures. 87 personnes perdent la vie et 200 sont grièvement blessées.

Orages meurtriers dans les campings - Catastrophe de Biescas du 7 août 1996 >>

 

 

26 août 1996 : un violent orage touche le bassin de Gardanne (entre Aix-en-Provence et Marseille dans les Bouches-du-Rhône). Il tombe 83 mm dont 56 mm en 1 h à Cassis, 114 mm dont : 62 mm en 1 h à Septèmes-les-Vallons.

 

 

29 août 1996 : véritable « coup de tabac » sur le Nord Pas de Calais et le nord de la Picardie - les rafales de vent dépassent 100 km/h - il tombe plus de 100 mm de pluie à Dunkerque et la température n’excède pas 13° à Lille et St Quentin.

 

 

5 septembre 1996 : une avalanche tue 4 chasseurs alpins à 3100 m d’altitude, dans le massif de la Maurienne (Savoie).

 

 

21 et 22 septembre 1996 : inondations « éclair » dans le Golf de St-Tropez - plusieurs campings sont balayés par les eaux en furie. Les communes de Grimaud, Saint-Tropez et Cogolin (Var) sont les plus touchées.

 

 

1er octobre 1996 : très violente bourrasque à Lyon - des rafales à plus de 150 km/h arrachent des tuiles et des arbres.

 

 

23 octobre 1996 : épisode « d’été indien » dans le sud-ouest où il fait 25 à 30° - on se baigne à Biarritz par une température de 31° !

 

 

Du 10 au 12 novembre 1996 : Épisode cévenol et crue du Rhône. Il tombe plus de 300/400 mm au pied du Mont-Lozère et 600/700 mm aux sources de l’Ardèche (maxi de 710 mm à Mayres). Le 13 novembre 1996, le Rhône enregistre un débit de pointe avoisinant les 9000 m3/s à Beaucaire.

 

Épisode cévenol du 10 au 12 novembre 1996

 

 

Du 23 au 27 novembre 1996 : fréquentes chutes de neige sur la moitié Nord de la France - le 27 novembre 1996, des axes routiers sont bloqués dans l’Essonne.

 

 

Du 6 au 8 décembre 1996 : des trombes d’eau s’abattent dans le Sud-ouest - les inondations provoquent d’importants dégâts dans le Tarn, le Tarn-et-Garonne et l'Aude. Le bilan s'élève à 600 maisons sinistrées à Montauban, une centaine de personnes évacuées dans le Tarn et au moins 100 millions de francs de dégâts.

 

Cumuls de pluie mesurés entre le 4 et le 11 décembre 1996 - carte Météo-France

 

Les inondations du mois de décembre 1996 vers Cuxac-d'Aude

 

 

A partir du 23 décembre 1996 : début d’une vague de froid dans l'extrême Nord de la France - le 24 décembre 1996 au soir, un véritable déluge de grêle s’abat sur Fréjus (Var) où les rues sont rapidement bloquées - certaines toitures s’effondrent sous le poids des grêlons et un épais manteau blanc persiste au sol durant toute la nuit de Noël.

Orage de grêle du 24 décembre 1996 au soir à Fréjus (Var)

 


La neige dans les rues de Draguignan (Var) à la fin du mois de décembre 1996

 

Toujours durant le réveillon de Noël 1996, des pluies verglaçantes paralysent par surprise la circulation en région parisienne car l'air froid venu du Nord progresse très lentement vers le sud. Dans la matinée de Noël 1996, on relève -5° à Paris -7° à Rouen, -8° à Lille, -9° à Nancy et Strasbourg.

 

Journée de Noël 1996 : le froid avance sur les régions du Nord de la France !

 

Journée de Noël 1996 : le gel devient permanent au Nord de la Loire

 


Le 27 décembre 1996, les températures descendent entre -10 et -13° dans le nord-est - le 29 décembre 1996, le froid devient partout intense et la moitié du pays enregistre des températures de -10 à -15° - la neige recouvre tout le nord de la Corse, le couloir du Rhône (où l’on observe de grosses perturbations du trafic routier) et une partie du Languedoc-Roussillon - on mesure 8cm à Bastia. Par ailleurs, il tombe une vingtaine de centimètres de neige entre Nantes et Angers…

 

Vague de froid fin décembre 1996 - températures minimales et maximales de la journée du 29 décembre 1996

 


Vague de froid et neige de fin décembre 1996 - Bastia, recouverte de neige


Vague de froid et neige de fin décembre 1996 - Fine couche de neige dans les rues de Paris - photo Julian Pépinster



Vague de froid et neige de fin décembre 1996 - le bassin de la Pyramide du Louvre est gelé (Paris)

 

Le dernier jour de l'année 1996 est très froid... analyse météo du 31 décembre 1996

 

Climat et écarts à la normale des températures et des pluies en 1996

 

Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Montpellier

Meteo-montpellier.fr. est un site météo uniquement dédié à Montpellier. Déjà une référence à Paris (plus de 100 000 visiteurs quotidiens) et dans d’autres grandes villes, ce service météo entièrement gratuit est de grande qualité. Plusieurs météorologistes locaux suivent la situation météo en permanence et réactualisent ainsi leurs prévisions plusieurs fois par jour en les affinant à chaque fois que la situation le nécessite; il en est de même pour les prévisions à 12 jours. Ce qui fait que meteo-montpellier.fr est sans doute le site météo local le plus réactif.

Il a été créé par Guillaume Séchet (webmaster de meteo-villes.com, météorologiste , présentateur sur BFMTV et ex-présentateur à La Chaîne Météo, spécialiste et auteurs d’ouvrages sur les évènements climatiques).

Notre ville de MONTPELLIER

Montpellier (en occitan Montpelhièr) est une commune française, située dans le département de l’Hérault (dont elle est la préfecture) et de la région Languedoc-Roussillon (dont elle est le chef-lieu). Montpellier se situe sur un grand axe de communication joignant l'Espagne à l'ouest, à l'Italie à l'est, proche de la mer Méditerranée (7,1 km).
Sa superficie est de 57 km² pour une altitude située entre 8 et 119 m.
Sa population est d’environ 258.000 habitants.

Le climat de Montpellier est méditerranéen, avec des étés chauds et des hivers doux accompagnés parfois de fortes pluies (épisodes Cévenols liés à la proximité des contreforts du Massif Central sur lesquels les masses d’air humides en provenance de Méditerranée viennent parfois se bloquer lorsqu’un fort courant de sud se lève). Notez quand même que les gelées y sont plus fréquentes que sur la Côte d’Azur car l’air froid qui descend parfois de la vallée du Rhône arrive plus facilement. Notre ville est d’ailleurs située entre l’influence du Mistral et de la Tramontane, d’où des prévisions météo parfois très complexes (ce carrefour climatique en fait l’une des villes Française où le temps est le plus difficile à prévoir !) Il pleut en moyenne 61 jours / an avec un cumul de 629 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 2686 h (le record étant détenu par les Iles du Levant, dans le Var, avec plus de 3000 h par an).

L'histoire de Montpellier : Notre ville vit le jour au cours du XI ème siècle Le comte de Mauguio offre deux manses à Guilhem pour le féliciter de sa loyauté. Les héritiers de Guilhem vont alors développer la grandeur de leur famille à travers le bourg de Montpellier qui cohabitait au côté du village de Montpelliéret, propriété de l'évêque de Maguelone.
C’est au 13è siècle que ces deux villages vont être réunis à l'intérieur de nouveaux remparts fortifiés. En 1204, la ville devient espagnole suite au mariage de la fille de Guilhem VIII, Marie de Montpellier, avec Pierre d'Aragon. Elle sera revendue (la ville) au Roi de France en 1349. Cette période marque aussi un développement économique et culturel de la ville. Les marchands de Montpellier traitaient avec l'Orient l'achat d'épices et de plantes thérapeutiques dont les vertus étaient enseignées dans la toute nouvelle Université de médecine créée au XIIIème siècle. Des écoles de droit et d'art virent également le jour à cette époque. L'Université de Montpellier va se développer et son excellente réputation va attirer des étudiants de tout le Royaume (Rabelais y finit ses études de médecine en 1530).
A la fin du 14è siècle, Montpellier va connaître une période de déclin avec l'arrivée de catastrophes ( épidémies de peste entrecoupées de périodes de famine) qui vont dévaster une partie de la population.
Il faudra attendre le milieu du 15ème siècle avec l'installation de Jacques Coeur, l'argentier du roi Charles VII pour que le commerce redevienne florissant. Seulement, le rattachement de la Provence à la France en 1481 va marquer définitivement la fin de cet essor car Marseille va devenir le premier port de commerce avec l'Orient du Royaume.
Au 16è siècle, l'arrivée de la Réforme à Montpellier va marquer le début d'une ère de luttes religieuses entre catholiques et protestants. Ils vont successivement prendre le contrôle de la ville jusqu'a l'intervention de Louis XIII en 1622. Ses troupes firent le siège de la ville durant trois mois, Richelieu construisit par la suite la citadelle pour surveiller la ville. Ce siège eut pour conséquence le départ de nombreux protestants au profit des Montpelliérains catholiques. Louis XIV, dont la statue trône sur la promenade du Peyrou va faire de Montpellier la capitale administrative du Haut-Languedoc.
Le 17è et le 18è siècle furent le théâtre d'un fort développement architectural avec les travaux de célèbres architectes tels Daviler et les Giral. Ils construisirent la promenade du Peyrou, l'Esplanade et de nombreuses fontaines. De riches hôtels particuliers et églises (Saint Denis) ont également été construits par des hauts fonctionnaires et marchands durant cette période.
Au 19ème siècle la viticulture va fortement se développer, favorisant ainsi un nouvel essor achitectural avec la construction du Palais de justice, de la gare et la reconstruction du théâtre mais aussi de nouvelles églises comme Sainte Anne et Saint Roch. La viticulture, prospère aujourd'hui en Languedoc, a connu une période noire avec le Phylloxera et les problèmes liés à la surproduction.
La ville de Montpellier connaît au 20ème siècle un accroissement important avec en premier lieu l'installation des "pieds noirs" en provenance d'Algérie suivi, à la fin du siècle, de la création de pôles économiques autour de la vieille ville. La Paillade (quartier résidentiel) est le résultat de cet accroissement soudain de la population. La ville va être à l'origine de nombreux projets urbains en réhabilitant des quartiers entiers ou en construisant de nouveaux à la périphérie de cette ville en permanente mutation. Le quartier d’Antigone part de la place de la comédie et du centre commercial du Polygone pour rallier le nouvel Hôtel de Région qui vit ainsi le jour. Suit le quartier de Port Marianne le long des rives du Lez. Pour développer le dynamisme économique de Montpellier, cinq grand pôles d'activités ont été créés. Euromédecine accueillant des laboratoires de recherche, Agropolis pour l'agro-alimentaire, Antenna pour le secteur audiovisuel aujourd'hui en plein développement, Héliopolis pour le développement du tourisme et de la culture très importants en Languedoc, et un pôle informatique s'est créé avec l'implantation d'IBM dans les années soixante suivi par l'entreprise Dell.
Aujourd'hui, la ville de Montpellier est une capitale régionale administrative, économique et culturelle. Ville très touristique, elle offre de nombreux lieux de visites, héritage de son passé médiéval, elle propose aussi de nombreux événements culturels(le festival Montpellier Danse, le Festival international du cinéma méditerranéen). Enfin, le littoral de l'Hérault très riche vous offre des balades, des visites magnifiques sans compter les nombreux loisirs et activités sportives.

Les principaux centres d’intérêt de Montpellier sont : la Basilique Notre-Dame des Tables, la Cathédrale Saint-Pierre, le Château de Mogère, le Châteu d’Ô, la Citadelle, la Fontaine des Trois Grâces, le jardin des plantes, de nombreuses grandes écoles et la Place de la Comédie.