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Enneigement en montagne : quelle tendance pour la fin de saison ?

Si les vacances d'hiver sont terminées, la première décade du mois de mars a été bénéfique sur la plupart des reliefs avec des chutes de neige parfois conséquentes. Un temps plus calme et plus doux va désormais s'installer. Point complet sur l'enneigement dans les stations.

 

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Tableau résumant grossièrement l'enneigement par massifs au mercredi 11 mars 2020 - via Météo France (valeurs réajustées par Météo-Villes)

 

En ce début de deuxième décade du mois de mars, l'enneigement reste inégal. Il est très bon dans les Alpes dès moyenne altitude, plus limité sur les autres massifs. Les sommets des Vosges et du Jura ont retrouvé des paysages plus hivernaux, de même que le Massif Central, mais l'enneigement y est pauvre sous 1200 mètres. Dans les Pyrénées, la situation s'est également améliorée par rapport à fin février mais la couche de neige reste maigre en moyenne montagne.

 

 

Alpes du Nord

 

La première décade du mois de mars a été particulièrement bonne sur le plan de la neige dans les massifs des Alpes du Nord avec des épisodes neigeux successifs et conséquents. Sur les 7 derniers jours, les quantités de neige fraîche sont de l'ordre de 30 à 50 cm en moyenne vers 1800 mètres d'altitude, souvent 50 à 70 cm en Haute-Savoie.

 

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Webcam d'Avoriaz (Haute-Savoie) la tête dans les nuages mais sous un épais manteau blanc ce 11 mars 2020 - skaping

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Graphique de l'évolution du manteau neigeux à Avoriaz, comparativement à celui de l'an dernier - via skipass.com

 

À l'approche de la fin de saison, les conditions d'enneigement sont excellentes dans les Alpes du Nord en moyenne et haute montagne. Dans de nombreux massifs, elles se situent bien au dessus de la norme et sont même proches des records dans certains secteurs. À titre d'exemple, la station d'Avoriaz mesure 435 cm de neige en haut des pistes à 2270 mètres d'altitude, soit 1m70 de plus que l'an dernier à la même époque.

 

On mesure sur les versants nord :

- À 2000 mètres : entre 210 cm et 280 cm de neige en moyenne, plutôt 180 cm en Haute-Maurienne et 155 cm dans le Vercors

- À 1500 mètres : de 100 à 160 cm en général, plutôt autour de 80 cm dans le Vercors et l'Oisans

 

D'une manière générale, les Alpes du Nord ont tiré leur épingle du jeu cet hiver, bénéficiant d'une très bonne saison, du moins au dessus de 1500 mètres. Le très bon enneigement actuel devrait garantir une belle fin de saison sur les pistes.

 

 

Alpes du Sud

 

La première décade du mois de mars a profité aux Alpes du Sud, apportant une neige fraîche bienvenue dès moyenne altitude. À 1800 mètres, les quantités de neige tombées au cours des 7 derniers jours sont de 25 à 40 cm dans les massifs des Hautes-Alpes, 15 à 20 cm en moyenne ailleurs (plutôt 10 cm dans le Mercantour).

 

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Webcam depuis les pistes d'Orcières (Hautes-Alpes) où les conditions sont excellentes ce 11 mars 2020 - skaping

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Graphique de l'évolution du manteau neigeux à Orcières, comparativement à celui de l'an dernier - via skipass.com

 

En règle générale, l'enneigement actuel dans les Alpes du Sud est de qualité, bien aidé par les chutes de neige récentes après un mois de février globalement défavorable. Les quantités de neige, sans être exceptionnelles, se situent à des niveaux plus que satisfaisants. Dans la station d'Orcières-Merlette (Hautes-Alpes), on mesure 220 cm à 2700 mètres, soit un mètre de neige en plus par rapport à l'an dernier à la même époque.

 

On mesure sur les versants nord :

- À 2000 mètres : entre 180 cm et 220 cm de neige dans les massifs des Hautes-Alpes (voire 240 cm dans le Champsaur), plutôt 150 à 170 cm plus au sud

- À 1500 mètres : 40 à 50 cm dans les massifs des Hautes-Alpes, seulement 5 à 10 cm plus au sud

 

Dans les Alpes du Sud, la saison 2019-2020 fut correcte. Elle avait commencé très fort à l'automne en lien avec des chutes de neige abondantes générées par des épisodes méditerranéens actifs avant des conditions moins favorables au milieu de l'hiver. Le début du mois de mars a redonné aux paysages de belles teintes hivernales.

 

 

Pyrénées

 

Après un mois de février catastrophique, marqué par un temps doux et sec, les chutes de neige ont fait leur retour sur les Pyrénées au cours de la première décade du mois de mars. Elles sont tombées en abondance avec des cumuls sur les 7 derniers jours de l'ordre de 50 à 70 cm en moyenne vers 1800 mètres, jusqu'à 90 cm en Haute-Bigorre mais plutôt 40 cm vers le Canigou.

 

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Webcam de la Mongie (Hautes-Pyrénées) ce 11 mars 2020 avec un enneigement relativement limité - skaping

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Graphique de l'évolution du manteau neigeux à La Mongie, comparativement à celui de l'an dernier - via skipass.com

 

Les récentes chutes de neige ont permis de sauver la fin de saison des Pyrénées, apportant un enneigement inférieur à la normale mais néanmoins bien plus correct que ce qui était observé jusqu'à la fin du mois de février. Dans la station de La Mongie - traditionnellement l'une des plus enneigées de la chaîne - on mesure 140 cm à 2500m, soit 60 cm de moins que l'an dernier à la même époque. Au 20 février, la couche n'était que de 80 cm, contre 250 cm à la même date en 2019 !

 

On mesure sur les versants nord :

- À 2000 mètres : entre 90 et 120 cm de neige en moyenne, plutôt 50 à 70 cm vers le Canigou et les stations basques

- À 1500 mètres : entre 25 et 40 cm de neige en règle générale mais très peu dans les Pyrénées-Orientales

 

Après un excellent début de saison et un enneigement record à l'automne - en lien avec des épisodes perturbés successifs - les Pyrénées ont connu une véritable traversée du désert au coeur de l'hiver avec des mois de janvier et de février trop secs et trop doux. Fin février, l'enneigement était excessivement pauvre sur la chaîne. Le début du mois de mars a apporté le retour de la neige, permettant aux paysages de reblanchir. Cette saison 2019-2020 ne restera certainement pas dans les annales...

 

 

Massif Central

 

Après un mois de février très compliqué pour le Massif Central, la première décade du mois de mars a permis de retrouver de belles sensations hivernales. Au cours des 7 derniers jours, les quantités de neige fraîche ont atteint entre 20 et 30 cm en moyenne dans le massif autour de 1200 mètres d'altitude. Une partie a toutefois fondu à cause des températures fluctuantes.

 

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Webcam depuis le Mont Dore ce 11 mars 2020 avec des quantités de neige limitées - skaping

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Graphique de l'évolution du manteau neigeux au Mont Dore, comparativement à celui de l'an dernier - via skipass.com

 

On mesure sur les versants nord :

- À 1500 mètres : autour de 20 à 30 cm dans les massifs du Sancy et des Monts du Cantal

- À 1300 mètres : 5 cm vers le Sancy, jusqu'à 20 cm vers les Monts du Cantal

 

Le Massif Central a connu un hiver très compliqué à cause de températures régulièrement trop douces, apportant plus de pluie que de neige. Si l'enneigement en cette fin de saison est plutôt correct et proche de celui observé l'an dernier à la même époque, il a souvent été très pauvre durant les mois de janvier et de février.

 

 

Jura

 

Le Jura a connu plusieurs épisodes neigeux au cours de la première décade du mois de mars. Sur les 7 derniers jours, les hauteurs de neige fraîche ont atteint 15 à 25 cm en moyenne sur le massif mais la fonte a été notable en journée de mardi à cause du redoux pluvieux.

 

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Webcam de Métabief (Doubs) ce 11 mars 2020 où le manteau neigeux est attaqué par le redoux après la pluie de la veille - skaping

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Graphique de l'évolution du manteau neigeux à Métabief, comparativement à celui de l'an dernier - via skipass.com

 

Vers 1100 mètres, on relève 10 à 15 cm neige sur les versants nord de la chaîne jurassienne. Au dessus de 1300 mètres, la couche de neige grimpe à 65 cm sur le Haut-Doubs et le Haut-Jura, autour de 40 centimètres dans le Bugey.

La saison 2019-2020 a été contrastée dans le Jura, bien souvent mauvaise aux altitudes les plus basses mais correcte en grimpant vers les sommets. Le mois de février a été néfaste avec un temps régulièrement trop doux, quelque peu corrigé par un début mars souvent neigeux.

 

 

Vosges

 

Les Vosges ont bénéficié de fréquentes chutes de neige au cours de la première décade du mois de mars. Les cumuls de neige fraîche sur les 7 derniers jours ont atteint 30 à 40 cm au dessus de 1200 mètres mais le redoux pluvieux observé mardi a mis à mal le manteau neigeux.

 

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Webcam de la Bresse (Vosges) où il n'y avait que très peu de neige en bas des pistes ce 11 mars 2020 - skaping

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Graphique de l'évolution du manteau neigeux à La Bresse, comparativement à celui de l'an dernier - via skipass.com

 

Aux derniers relevés, la couche de neige n'excède pas 10 cm vers 1000 mètres dans les Hautes-Vosges, plutôt 25 à 30 cm vers le Ballon d'Alsace. Au delà de 1200 mètres, on mesure 40 à 55 cm.

La saison 2019-2020 a parfois été difficile dans les Vosges à cause de températures souvent trop douces et de fréquentes précipitations sous forme pluvieuse. Par rapport à l'an dernier, les quantités de neige ont été maigres. En ce début mars, le manteau neigeux est deux fois plus faible que celui observé à la même époque en 2019.

 

 

Prévisions : vers le retour de l'anticyclone

 

Le flux océanique va nettement ralentir au cours des prochains jours et les précipitations vont se faire plus rares sur nos massifs, voire totalement disparaître. À partir de la semaine prochaine, des conditions anticycloniques se mettront en place sur une bonne partie de l'Europe.

 

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Carte des cumuls de neige attendus jusqu'au vendredi 20 mars 2020 - via skipass

 

Une petite perturbation traversera le pays entre jeudi et vendredi matin. Seul le relief alpin profitera d'un peu de neige durant la nuit de jeudi à vendredi. Celle-ci tombera à des altitudes assez élevées en affectant surtout les Savoies où seule la haute montagne recevra des cumuls dignes de ce nom. Ensuite, le calme va s'installer durant le week-end.

Une dernière dégradation surviendra au cours de la nuit du dimanche 15 au lundi 16 mars et jusqu'en journée de lundi sur l'Espagne, remontant sur le sud de la France. Cette situation devrait profiter aux Pyrénées qui devraient recevoir des chutes de neige notables à toutes altitudes dans les stations. Des quantités de 15 à 30 cm sont envisagées.

 

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Situation météorologique prévue pour le mercredi 18 mars 2020 avec un anticyclone centré sur le pays - via wxcharts.com

 

Par la suite, c'est l'anticyclone qui fera son grand retour dès la journée du mardi 17 mars en rétablissant des conditions sèches sur la France et une bonne partie de l'Europe pour la suite de la semaine. D'une manière générale, la seconde quinzaine du mois de mars devrait être nettement moins humide que la première. En montagne, les journées douces et ensoleillées devraient donc s'enchaîner, permettant au printemps de s'installer.

 

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Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Montpellier

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Il a été créé par Guillaume Séchet (webmaster de meteo-villes.com, météorologiste , présentateur sur BFMTV et ex-présentateur à La Chaîne Météo, spécialiste et auteurs d’ouvrages sur les évènements climatiques).

Notre ville de MONTPELLIER

Montpellier (en occitan Montpelhièr) est une commune française, située dans le département de l’Hérault (dont elle est la préfecture) et de la région Languedoc-Roussillon (dont elle est le chef-lieu). Montpellier se situe sur un grand axe de communication joignant l'Espagne à l'ouest, à l'Italie à l'est, proche de la mer Méditerranée (7,1 km).
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Le climat de Montpellier est méditerranéen, avec des étés chauds et des hivers doux accompagnés parfois de fortes pluies (épisodes Cévenols liés à la proximité des contreforts du Massif Central sur lesquels les masses d’air humides en provenance de Méditerranée viennent parfois se bloquer lorsqu’un fort courant de sud se lève). Notez quand même que les gelées y sont plus fréquentes que sur la Côte d’Azur car l’air froid qui descend parfois de la vallée du Rhône arrive plus facilement. Notre ville est d’ailleurs située entre l’influence du Mistral et de la Tramontane, d’où des prévisions météo parfois très complexes (ce carrefour climatique en fait l’une des villes Française où le temps est le plus difficile à prévoir !) Il pleut en moyenne 61 jours / an avec un cumul de 629 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 2686 h (le record étant détenu par les Iles du Levant, dans le Var, avec plus de 3000 h par an).

L'histoire de Montpellier : Notre ville vit le jour au cours du XI ème siècle Le comte de Mauguio offre deux manses à Guilhem pour le féliciter de sa loyauté. Les héritiers de Guilhem vont alors développer la grandeur de leur famille à travers le bourg de Montpellier qui cohabitait au côté du village de Montpelliéret, propriété de l'évêque de Maguelone.
C’est au 13è siècle que ces deux villages vont être réunis à l'intérieur de nouveaux remparts fortifiés. En 1204, la ville devient espagnole suite au mariage de la fille de Guilhem VIII, Marie de Montpellier, avec Pierre d'Aragon. Elle sera revendue (la ville) au Roi de France en 1349. Cette période marque aussi un développement économique et culturel de la ville. Les marchands de Montpellier traitaient avec l'Orient l'achat d'épices et de plantes thérapeutiques dont les vertus étaient enseignées dans la toute nouvelle Université de médecine créée au XIIIème siècle. Des écoles de droit et d'art virent également le jour à cette époque. L'Université de Montpellier va se développer et son excellente réputation va attirer des étudiants de tout le Royaume (Rabelais y finit ses études de médecine en 1530).
A la fin du 14è siècle, Montpellier va connaître une période de déclin avec l'arrivée de catastrophes ( épidémies de peste entrecoupées de périodes de famine) qui vont dévaster une partie de la population.
Il faudra attendre le milieu du 15ème siècle avec l'installation de Jacques Coeur, l'argentier du roi Charles VII pour que le commerce redevienne florissant. Seulement, le rattachement de la Provence à la France en 1481 va marquer définitivement la fin de cet essor car Marseille va devenir le premier port de commerce avec l'Orient du Royaume.
Au 16è siècle, l'arrivée de la Réforme à Montpellier va marquer le début d'une ère de luttes religieuses entre catholiques et protestants. Ils vont successivement prendre le contrôle de la ville jusqu'a l'intervention de Louis XIII en 1622. Ses troupes firent le siège de la ville durant trois mois, Richelieu construisit par la suite la citadelle pour surveiller la ville. Ce siège eut pour conséquence le départ de nombreux protestants au profit des Montpelliérains catholiques. Louis XIV, dont la statue trône sur la promenade du Peyrou va faire de Montpellier la capitale administrative du Haut-Languedoc.
Le 17è et le 18è siècle furent le théâtre d'un fort développement architectural avec les travaux de célèbres architectes tels Daviler et les Giral. Ils construisirent la promenade du Peyrou, l'Esplanade et de nombreuses fontaines. De riches hôtels particuliers et églises (Saint Denis) ont également été construits par des hauts fonctionnaires et marchands durant cette période.
Au 19ème siècle la viticulture va fortement se développer, favorisant ainsi un nouvel essor achitectural avec la construction du Palais de justice, de la gare et la reconstruction du théâtre mais aussi de nouvelles églises comme Sainte Anne et Saint Roch. La viticulture, prospère aujourd'hui en Languedoc, a connu une période noire avec le Phylloxera et les problèmes liés à la surproduction.
La ville de Montpellier connaît au 20ème siècle un accroissement important avec en premier lieu l'installation des "pieds noirs" en provenance d'Algérie suivi, à la fin du siècle, de la création de pôles économiques autour de la vieille ville. La Paillade (quartier résidentiel) est le résultat de cet accroissement soudain de la population. La ville va être à l'origine de nombreux projets urbains en réhabilitant des quartiers entiers ou en construisant de nouveaux à la périphérie de cette ville en permanente mutation. Le quartier d’Antigone part de la place de la comédie et du centre commercial du Polygone pour rallier le nouvel Hôtel de Région qui vit ainsi le jour. Suit le quartier de Port Marianne le long des rives du Lez. Pour développer le dynamisme économique de Montpellier, cinq grand pôles d'activités ont été créés. Euromédecine accueillant des laboratoires de recherche, Agropolis pour l'agro-alimentaire, Antenna pour le secteur audiovisuel aujourd'hui en plein développement, Héliopolis pour le développement du tourisme et de la culture très importants en Languedoc, et un pôle informatique s'est créé avec l'implantation d'IBM dans les années soixante suivi par l'entreprise Dell.
Aujourd'hui, la ville de Montpellier est une capitale régionale administrative, économique et culturelle. Ville très touristique, elle offre de nombreux lieux de visites, héritage de son passé médiéval, elle propose aussi de nombreux événements culturels(le festival Montpellier Danse, le Festival international du cinéma méditerranéen). Enfin, le littoral de l'Hérault très riche vous offre des balades, des visites magnifiques sans compter les nombreux loisirs et activités sportives.

Les principaux centres d’intérêt de Montpellier sont : la Basilique Notre-Dame des Tables, la Cathédrale Saint-Pierre, le Château de Mogère, le Châteu d’Ô, la Citadelle, la Fontaine des Trois Grâces, le jardin des plantes, de nombreuses grandes écoles et la Place de la Comédie.