Logo Météo Montpellier, météo expertisée et gratuite

BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES

Un printemps totalement pourri et un mois de juin peu réjouissant laissaient planer le doute sur les intentions de l'été. Mais la tendance s'est complètement inversée début juillet avec la mise en place d'une vague de chaleur d'une vingtaine de jours (parfois ponctuée de violents orages). Sans être aussi chaud que juillet, le mois d'août n'a pas démérité avec des conditions très largement estivales et moins orageuses.

Le duo juillet/août s'est donc montré le plus estival depuis 2003

 

Ecarts à la normale des températures en moyenne pour la FRANCE

 

Juin : -0,7°C

Pour l'ensemble de l'été 2013 :

+0,5°C 

Juillet :+1,9°C

Août : +0,4°C


 


 

Ecarts à la normale des précipitations en moyenne pour la FRANCE

 

Juin : 100 %

Pour l'ensemble de l'été 2013 :

-5 % 

Juillet :  + 105 %

Août : -20 %


 

Ecarts à la normale de l'ensoleillement en moyenne pour la FRANCE

 

Juin : déficitaire

Pour l'ensemble de l'été 2013 :

excédentaire (+15 %) 

Juillet :  très excédentaire

Août : excédentaire


 

 

1/ Un mois de juin très perturbé

 

Image d'illustration pour BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES

Le 17 juin au matin, deux orages très violents éclatent sur Paris, des chutes de grêle sont observées : 21 mm de pluies sur la capitale

 

Image d'illustration pour BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES

La grotte de Lourdes noyée sous les eaux après la crue du Gave de Pau le 18 juin, des inondations liées à la fonte de la neige en montagne et aux pluies incessantes (119 mm de pluies à Gavarnie).

 

Image d'illustration pour BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES

Le 20 juin, violents orages entre Annecy et surtout Genève qui connaît une tempête de grêle

 

Le mois de juin 2013 n'a pas présenté de caractère véritablement estival malgré un bref épisode de très fortes chaleurs dans l'Est (on a mesuré 35,8°C à Strasbourg, record de chaleur absolu pour un mois de juin) suivi de violents orages (qui ont également frappé Paris les 17 et 18 juin). Dans la lignée des 5 premiers mois de l'année où la température à l'échelle de la France s'est montrée plus fraîche que la moyenne, ce premier mois d'été n'a pas dérogé à la règle, avec un enneigement record dans les Pyrénées et une fin juin exécrable (températures très basses, dignes d'une fin avril). Dernière anecdote, elle concerne Toulouse où la température au 30 juin n'avait toujours pas atteint la barre des 30°C, constituant une des dates les plus tardives où une telle valeur n'avait pas été observée.

Au niveau des pluies, les régions les plus septentrionales (côtes de la Manche) ont continué d'être privilégiées avec un temps généralement sec (sixième mois d'affilée) alors que dans le Sud-ouest (et plus particulièrement près des Pyrénées) plusieurs épisodes de pluies diluviennes se sont succédé, entraînant des crues soudaines de cours d'eau et de rivières et des inondations aggravées par la brusque fonte du très important manteau neigeux présent en altitude).

 

 

2/ Un mois de juillet historiquement chaud mais et pourtant très orageux

 

Image d'illustration pour BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES
Températures maximales relevées le 22 juillet, les 30°C sont dépassés sur les 4/5ièmes du pays, 35°C à Paris

 

 

Image d'illustration pour BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES

Violents orages du 25 au 29  juillet : 683.250 éclairs et impacts de foudre comptabilisés

 

 

Changement radical à partir du 5 juillet avec l'arrivée de la chaleur par l'Ouest qui s'est ensuite propagée à tout l'hexagone. Ainsi, le mois de juillet 2013 peut être qualifié d'historique pour au moins 2 raisons ; tout d'abord, cela faisait 7 ans (depuis juillet 2006) qu'une vague de chaleur (du 15 au 27 juillet) n'avait pas concerné l'ensemble de la France aussi longtemps (le Sud-ouest surtout alors que le Nord-est est un peu resté à l'écart des plus fortes températures) ; ensuite les orages ont été particulièrement violents, destructeurs, parfois même meurtriers et surtout généralisés : ainsi, sur les principales vagues orageuses des 10, 18, 21 et 22 juillet et celle du 27 et du 28 juillet, ces 6 journées ont permis à elles seules de parvenir à un bilan pluviométrique excédentaire (et plus précisément les 27 et 28 juillet où il est tombé par endroit en 48 heures l'équivalent d'un mois de pluies comme à Bordeaux, Poitiers, Angoulême, Niort, Dijon, Langres, Roanne, Besançon, Lyon, Grenoble, Montélimar, Orange, Marseille ou Nice). Sous les orages, de nombreuses inondations se sont produites : les villes de Caen, Laval, Bordeaux ont vu leur centre-ville envahis par les eaux. De fait le bilan pluviométrique se révèle dans l'ensemble excédentaire pratiquement partout du fait des orages (+120 %).

 

Image d'illustration pour BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES

Violent orage de grêle du 10 juillet dans la région d'Argelès-Gazost (Hautes-Pyrénées)

 

Image d'illustration pour BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES

La ville de Laval (Mayenne) frappé par des orages et des inondations le 21 juillet

 

Image d'illustration pour BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES

Le centre-ville de Bordeaux inondé dans la nuit du 27 au 28 juillet : il est tombé l'équivalent d'1 mois de pluie en 2 heures !

 

Image d'illustration pour BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES

La ville de Caen (Calvados) touchée par des inondations le 22 juillet (40 mm de pluies relevés en 2 heures)

 

Image d'illustration pour BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES

Violent orage sur Paris le 27 juillet au matin : 20 mm de pluies en 1 heure

 

Par certains aspects, le printemps dernier et le mois de juillet on pu rappelé l'année 1983 qui s'était également caractérisée par un printemps très maussade suivi d'un mois de juillet caniculaire et très orageux. Ce mois de juillet 2013 est d'ailleurs exceptionnellement orageux puisqu'on a dénombré près d'1 million de flashs (impacts de foudre et éclairs) sur la France.

En terme de chaleur et à l'échelle du territoire, ce mois de juillet se situe dans le top 3 des mois de juillet les plus chauds enregistrés depuis 1950, après juillet 1983 et celui de 2006.  Les journées des 21, 22, 27 et 28 juillet ont été globalement les plus chaudes du mois (et de l'année) avec des valeurs qui ont dépassé les 32 à 35°C sur la plus grande partie du pays avec une pointe à 41,2°C mesurée à Sartène en Corse le 28 juillet, 39,3°C à Carpentras le 27 juillet, 38,8°C à Colmar (27 juillet) et 35°C à Paris le 22 juillet. Dans la capitale, justement, les températures ont dépassé en juillet 11 jours les 30°C (dont 7 consécutifs). Dans le Sud-ouest, il s'agit même du mois de juillet le plus chaud depuis ces 50 dernières années. A Bordeaux, 22 jours ont dépassé le seuil de fortes chaleurs (températures supérieures à 30°C)  dont 18 consécutifs (le record d'août 2003 a été battu !).

Malgré tous ces orages, et cela peut paraître paradoxal, l'ensoleillement s'est montré excédentaire partout (et plus particulièrement dans l'Ouest situé au plus près du centre de l'anticyclone des Açores) ; c'est même le mois de juillet le plus ensoleillé depuis 2006.

 

 

3/ Un beau mois d'août malgré quelques orages

Après un mois de juillet aussi chaud, on aurait pu craindre le pire (à l'image de l'été 2006 où le mois juillet très chaud avait été suivi d'un mois d'août complètement pourri), mais cela ne s'est pas produit cette année puisque ce troisième mois d'été s'est montré tout à fait convenable avec des températures un peu supérieures aux normales de saison (+0,4°C) et des orages un peu moins nombreux qu'en juillet. Dans le détail, cela se traduit par 2 journées très chaudes les 1er et 2 août où on atteint 39°C à Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques), 37,3°C à Colmar (Haut-Rhin), 35,5°C à Paris mais aussi entre 31 et 35°C près de la Manche (de  Deauville au Havre et au Touquet en passant par Dunkerque). A ce propos, le 1er août dernier a été la journée la plus chaude de l'été et de cette année 2013 sur la France.  Dernier accès de fièvre du thermomètre entre les 20 et 23 août où on mesure pour la dernière fois du mois d'août à Paris 30°C. Quelques courtes mais remarquables périodes de fraîcheur se sont insinuées au milieu de ce beau mois d'août (notamment les 7 et 8 août au nord de la Seine ou bien encore le 25 août dernier où l'automne a fait une brutale irruption : en plein après-midi, on relevait à peine plus de 15°C entre Dieppe et Paris).

Au niveau des précipitations, on se situe en-dessous des moyennes, le déficit étant très important dans le Nord-ouest (des Pays de la Loire à la Bretagne en remontant vers la Basse-Normandie) et plus modéré autour de la Méditerranée. Situation plus favorable de l'Auvergne au Jura et au nord de Rhône-Alpes en raison des orages parfois forts qui ont sévi sur ces régions (les 6,7 et 8 août et 24 et 25 août derniers). De manière plus isolée, certains secteurs ont également connu des pluies excédentaires durant ce mois (du nord de Paris à l'est de la Haute-Normandie et à la Picardie ainsi qu'en Poitou).

 

Image d'illustration pour BILAN DE L'ÉTÉ 2013 : LE PLUS BEL ÉTÉ DEPUIS 2003 MALGRÉ LES ORAGES

Pluies diluviennes et inondations sur Rouen le 7 août dernier

 

 

Conclusion : après un mois de juin catastrophique qui augurait du pire, cet été (juillet/août) a finalement rompu avec les précédents étés maussades et frais et renoué avec les beau étés que l'on avait connu dans les années 1990 et 2000. Les 2 mois d'été (juillet août) ont été estivaux malgré les orages. Il faut remonter à l'été 2003 (dernier bel été en date) pour retrouver des conditions météo aussi favorables.

 

 

Villes Nombre de jours en juillet et en août avec température égale ou supérieure à 30°C Ecarts à la normale (en jours)
Marignane 47 +16
Nîmes 41 +6
Toulouse 34 +14
Bordeaux 27 +13
Lyon 24 +6
Nantes 17 +9
Paris 16 +7
Clermont-Ferrand 15 +2
Grenoble Saint-Geoirs 13 0
Rennes 11 +6
Metz 10 +1
Strasbourg 8 0
Lille 5 +1

 

 

 

 

Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Montpellier

Meteo-montpellier.fr. est un site météo uniquement dédié à Montpellier. Déjà une référence à Paris (plus de 100 000 visiteurs quotidiens) et dans d’autres grandes villes, ce service météo entièrement gratuit est de grande qualité. Plusieurs météorologistes locaux suivent la situation météo en permanence et réactualisent ainsi leurs prévisions plusieurs fois par jour en les affinant à chaque fois que la situation le nécessite; il en est de même pour les prévisions à 12 jours. Ce qui fait que meteo-montpellier.fr est sans doute le site météo local le plus réactif.

Il a été créé par Guillaume Séchet (webmaster de meteo-villes.com, météorologiste , présentateur sur BFMTV et ex-présentateur à La Chaîne Météo, spécialiste et auteurs d’ouvrages sur les évènements climatiques).

Notre ville de MONTPELLIER

Montpellier (en occitan Montpelhièr) est une commune française, située dans le département de l’Hérault (dont elle est la préfecture) et de la région Languedoc-Roussillon (dont elle est le chef-lieu). Montpellier se situe sur un grand axe de communication joignant l'Espagne à l'ouest, à l'Italie à l'est, proche de la mer Méditerranée (7,1 km).
Sa superficie est de 57 km² pour une altitude située entre 8 et 119 m.
Sa population est d’environ 258.000 habitants.

Le climat de Montpellier est méditerranéen, avec des étés chauds et des hivers doux accompagnés parfois de fortes pluies (épisodes Cévenols liés à la proximité des contreforts du Massif Central sur lesquels les masses d’air humides en provenance de Méditerranée viennent parfois se bloquer lorsqu’un fort courant de sud se lève). Notez quand même que les gelées y sont plus fréquentes que sur la Côte d’Azur car l’air froid qui descend parfois de la vallée du Rhône arrive plus facilement. Notre ville est d’ailleurs située entre l’influence du Mistral et de la Tramontane, d’où des prévisions météo parfois très complexes (ce carrefour climatique en fait l’une des villes Française où le temps est le plus difficile à prévoir !) Il pleut en moyenne 61 jours / an avec un cumul de 629 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 2686 h (le record étant détenu par les Iles du Levant, dans le Var, avec plus de 3000 h par an).

L'histoire de Montpellier : Notre ville vit le jour au cours du XI ème siècle Le comte de Mauguio offre deux manses à Guilhem pour le féliciter de sa loyauté. Les héritiers de Guilhem vont alors développer la grandeur de leur famille à travers le bourg de Montpellier qui cohabitait au côté du village de Montpelliéret, propriété de l'évêque de Maguelone.
C’est au 13è siècle que ces deux villages vont être réunis à l'intérieur de nouveaux remparts fortifiés. En 1204, la ville devient espagnole suite au mariage de la fille de Guilhem VIII, Marie de Montpellier, avec Pierre d'Aragon. Elle sera revendue (la ville) au Roi de France en 1349. Cette période marque aussi un développement économique et culturel de la ville. Les marchands de Montpellier traitaient avec l'Orient l'achat d'épices et de plantes thérapeutiques dont les vertus étaient enseignées dans la toute nouvelle Université de médecine créée au XIIIème siècle. Des écoles de droit et d'art virent également le jour à cette époque. L'Université de Montpellier va se développer et son excellente réputation va attirer des étudiants de tout le Royaume (Rabelais y finit ses études de médecine en 1530).
A la fin du 14è siècle, Montpellier va connaître une période de déclin avec l'arrivée de catastrophes ( épidémies de peste entrecoupées de périodes de famine) qui vont dévaster une partie de la population.
Il faudra attendre le milieu du 15ème siècle avec l'installation de Jacques Coeur, l'argentier du roi Charles VII pour que le commerce redevienne florissant. Seulement, le rattachement de la Provence à la France en 1481 va marquer définitivement la fin de cet essor car Marseille va devenir le premier port de commerce avec l'Orient du Royaume.
Au 16è siècle, l'arrivée de la Réforme à Montpellier va marquer le début d'une ère de luttes religieuses entre catholiques et protestants. Ils vont successivement prendre le contrôle de la ville jusqu'a l'intervention de Louis XIII en 1622. Ses troupes firent le siège de la ville durant trois mois, Richelieu construisit par la suite la citadelle pour surveiller la ville. Ce siège eut pour conséquence le départ de nombreux protestants au profit des Montpelliérains catholiques. Louis XIV, dont la statue trône sur la promenade du Peyrou va faire de Montpellier la capitale administrative du Haut-Languedoc.
Le 17è et le 18è siècle furent le théâtre d'un fort développement architectural avec les travaux de célèbres architectes tels Daviler et les Giral. Ils construisirent la promenade du Peyrou, l'Esplanade et de nombreuses fontaines. De riches hôtels particuliers et églises (Saint Denis) ont également été construits par des hauts fonctionnaires et marchands durant cette période.
Au 19ème siècle la viticulture va fortement se développer, favorisant ainsi un nouvel essor achitectural avec la construction du Palais de justice, de la gare et la reconstruction du théâtre mais aussi de nouvelles églises comme Sainte Anne et Saint Roch. La viticulture, prospère aujourd'hui en Languedoc, a connu une période noire avec le Phylloxera et les problèmes liés à la surproduction.
La ville de Montpellier connaît au 20ème siècle un accroissement important avec en premier lieu l'installation des "pieds noirs" en provenance d'Algérie suivi, à la fin du siècle, de la création de pôles économiques autour de la vieille ville. La Paillade (quartier résidentiel) est le résultat de cet accroissement soudain de la population. La ville va être à l'origine de nombreux projets urbains en réhabilitant des quartiers entiers ou en construisant de nouveaux à la périphérie de cette ville en permanente mutation. Le quartier d’Antigone part de la place de la comédie et du centre commercial du Polygone pour rallier le nouvel Hôtel de Région qui vit ainsi le jour. Suit le quartier de Port Marianne le long des rives du Lez. Pour développer le dynamisme économique de Montpellier, cinq grand pôles d'activités ont été créés. Euromédecine accueillant des laboratoires de recherche, Agropolis pour l'agro-alimentaire, Antenna pour le secteur audiovisuel aujourd'hui en plein développement, Héliopolis pour le développement du tourisme et de la culture très importants en Languedoc, et un pôle informatique s'est créé avec l'implantation d'IBM dans les années soixante suivi par l'entreprise Dell.
Aujourd'hui, la ville de Montpellier est une capitale régionale administrative, économique et culturelle. Ville très touristique, elle offre de nombreux lieux de visites, héritage de son passé médiéval, elle propose aussi de nombreux événements culturels(le festival Montpellier Danse, le Festival international du cinéma méditerranéen). Enfin, le littoral de l'Hérault très riche vous offre des balades, des visites magnifiques sans compter les nombreux loisirs et activités sportives.

Les principaux centres d’intérêt de Montpellier sont : la Basilique Notre-Dame des Tables, la Cathédrale Saint-Pierre, le Château de Mogère, le Châteu d’Ô, la Citadelle, la Fontaine des Trois Grâces, le jardin des plantes, de nombreuses grandes écoles et la Place de la Comédie.