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Chronique 1979

Climat et écarts à la normale des températures et des pluies en 1979

Repères historiques de l'année 1979

5 mai 1979 : élection de Margaret Thatcher
24 mai 1979: « Apocalypse Now » obtient une palme d’or à Cannes
30 octobre 1979: mort mystérieuse du ministre du travail Robert Boulin
26 décembre 1979: l’URSS envahit l’Afghanistan

 

 

Évènements météo marquants de l’année 1979 : 1er janvier polaire, Blizzard du 5 janvier, neige, vague de froid, tempête équinoxe 29 mars, été pourri, tsunami Nice, neige tardive

 

Du 1er au 9 janvier et du 14 au 19 janvier 1979: vague de froid sur le nord et l’est de la France (Pour plus de détails sur la vague de froid du mois de janvier 1979). Le froid glacial qui concerne les régions situées au nord de la Seine dans la journée du 31 décembre 1979, déferle ensuite jusqu’à l'Aquitaine et à la vallée du Rhône.
Le 1er janvier 1979 - ce matin là, les températures descendent à -16° à Lille et St Quentin.

 

L’incroyable et inédit conflit de masses d'air des 31 décembre 1978 et 1er janvier 1979 !!  Le froid polaire déferle sur la France...



Températures minimales du 1er janvier 1979

 

Un 1er janvier 1979 polaire à Paris ! -11°C le matin !!

 

1er janvier 1979 : Le carnet de bord d'un passionné atteste de cette baisse historique de la température (-20°C en 24h en Ile-de-France)

 


La neige et le froid monopolisent les journaux télévisés du 1er janvier 1979 car les trois-quarts de la France sont bloqués !! 

 


Les 4 et 5 janvier 1979, une terrible tempête de neige paralyse un axe s’étendant de la Bretagne au Morvan, en passant par Paris - ce véritable blizzard prend au piège des centaines d’automobilistes dans les plaines du sud de Paris - la hauteur de neige atteint 80cm dans la Beauce avec des congères de plusieurs mètres.

 

La tempête de neige - blizzard des 4 et 5 janvier 1979, lorsqu'une profonde dépression atlantique arrive dans l'air froid qui a envahit la France 5 jours plus tôt....


Blizzard et tempête de neige des 4 et 5 janvier 1979 - Analyse météo du 4 janvier 1979 au soir

 



Blizzard du 5 janvier 1979 dans la Beauce - L’armée doit intervenir pour déblayer les routes près de Rambouillet (78)

 


Blizzard du 5 janvier 1979 dans la Beauce - Panique aussi sur l'autoroute du sud...

 

 

6 janvier 1979 : 30 cm de neige à Dreux (Eure-et-Loir) - crédit : Jean Decker

 

Tempête de neige et blizzard des 4 et 5 janvier 1979 dans la Beauce - notamment vers Pithiviers

 

Tempête de neige et blizzard des 4 et 5 janvier 1979 dans la Beauce - les rues de Pithiviers ensevelies sous la neige !

 

L'effet du blizzard dans la Beauce, notamment vers Pithiviers - le 5 janvier 1979 - crédit : La République du Centre et Jacky Guermeur

 

Des congères inédites après le blizzard du 5 janvier 1979 dans la Beauce ! Crédit meteo-villes.com

 

La Beauce isolée du monde après le blizzard du 5 janvier 1979... reportable Antenne 2 - ina

 


Début début 1979 :  La neige tombe et tient également à Saint-Malo

Le Pli d'Etampes et de sa région se souvient (>>, >>).

 


Le 6 janvier (après le blizzard qui paralyse la Beauce), le calme revient mais la température descend à -19° à Caen. Le 7 janvier 1979, on relève -16° à Chartres, -14° à Orléans et -13° à Paris-Montsouris.

Du 10 au 13 janvier 1979 : un léger dégel se produit mais le temps est très agité avec beaucoup de pluie, de vent et de neige plus ou moins fondante. Une tempête avec pluie précédée de neige puis de nouveau suivie de neige se produit dans le Nord-ouest  le 10 janvier 1979. 

Du 14 au 18 janvier 1979 : le froid revient mais il est beaucoup plus sec - la nuit, les températures descendent souvent entre -10 et -15° sur les régions du centre et de l’est.

 

 

Du 14 au 18 février 1979 : sans atteindre l’intensité observée en janvier, le froid descend de nouveau sur la moitié nord de la France où il neige fréquemment.

La nouvelle descente froide de Scandinavie du 15 février 1979

 

 

Les 15 et 16 mars 1979 : alors que la température atteint 15° au sud de la Champagne, une véritable tempête de neige s’abat sur le Cotentin dans la journée du 15 mars - cette neige gagne ensuite toute la moitié nord de la France le 16 mars où l’on mesure plusieurs centimètres - à Paris, il pleut puis il neige de façon ininterrompue pendant 36h30 ; c’est un record.

 

La dépression qui stationne sur le Nord de la France entre le 15 et le 16 mars 1979, responsable de la pluie suivie de neige durant 36h d'affilée sur Paris !

 

 

25 mars 1979 : Temps instable avec quelques orages et une tornade F3 dans le Limousin (en liaison avec un puissant talweg qui engendre des remontées très douces).

 

La journée du 25 mars 1979 est très perturbée avec quelques orages et une douceur assez marquée

dans le Sud-ouest

 

 

29 mars 1979 : une tempête d'équinoxe provoque de gros dégâts sur les côtes de Bretagne, notamment à Saint-Malo où les remparts cèdent à plusieurs endroits et l'eau envahit une partie de la ville. Certains quartiers de Saint-Malo envahis par la mer, à la conjonction de fortes marées et d'une tempête d'équinoxe.

Le tempête de Nord associée à un fort coefficient de marée et responsable des submersions côtières sur le Nord de la Bretagne (notamment Saint-Malo) du 29 mars 1979

 

 

Les 15 et 16 avril 1979 : Pâques 1979 est presque estival sur toute la moitié nord de la France et les températures dépassent souvent 22°.

 

 

Du 2 au 8 mai 1979 : l’hiver est de retour et il ne fait pas semblant…

L'exceptionnelle descente polaire maritime du 2 mai 1979 à l'origine de la neige en Normandie, Bretagne, Nord-pas-de-calais, Ile-de-France, Picardie, Angleterre

 


Les 2 et 3 mai 1979, des averses de neige sont observées sur toute la moitié nord de la France - la neige tient rarement au sol sauf dans le nord-est - on observe même des pluies verglaçantes à Metz - par la suite, les gelées sont fréquentes et les cultures en souffrent énormément.



2 mai 1979 : La Normandie essuie de fortes averses de neige qui tiennent parfois un peu au sol


Neige du 2 mai 1979 : Jean-Pierre Pernaud commente ces conditions météo exceptionnelles



Le 7 mai 1979, il gèle sur plus de la moitié de la France.

 

Pour la 3ième année consécutive, l’été 1979 est très frais et très humide - seule la journée du 27 juillet est estivale partout à la fois avec des températures qui culminent à 32° à Paris et 36° à Nice - contrairement au reste de la France, la Côte d’Azur connaît des températures très élevées cet été là et le 4 août, on relève 37° à St Raphaël et Cannes.

Fin juillet 1979, la chaleur concerne toute la France mais cet épisode restera éphémère et l'été 1979 sera globalement pourri pour la 3eme année consécutive !

 

 

9 août 1979 : c’est une véritable journée d’automne - une violente tempête, très rare en cette saison, provoque des dégâts sur les régions du nord-ouest - des centaines d’arbres sont déracinés en Haute Normandie où les rafales dépassent largement les 100 km/h.

La tempête du 9 août 1979 sur le Nord-ouest de la France

 

 

25 août 1979 : l’été paraît déjà terminé mais sur de nombreuses régions, on a l’impression qu’il n’a jamais vraiment débuté - ce jour là, il ne fait pas plus de 12° à Rouen, 14° à Paris et 15° à Orléans, le tout sous une pluie persistante.

La journée épouvantable du 25 août 1979... il neige dans les Vosges et le Jura

 

 

L'été 1979 pourri à Paris... Évolution des températures quotidiennes en juillet et août 1979 - seulement 17 jours à plus de 25°C !

 

 

31 août 1979 : le très puissant cyclone David (l'un des pires du siècle à ce moment là) sème la désolation dans les Antilles et notamment la mort de 2000 personnes à Haïti. Il touche la Martinique et la Guadeloupe mais change de trajectoire et une catastrophe majeure est évitée de justesse.

Les dégâts du cyclone David à la Martinique le 31 août 1979

 

 

Du 22 au 24 septembre 1979 : la neige fait une apparition remarquée jusqu’à basse altitude - le 22 septembre, on mesure 20cm à Bourg St Maurice (Savoie) pourtant située à seulement 850 m d’altitude.

Une tempête touche également la façade Atlantique, notamment la Gironde et Bordeaux

 

22 septembre 1979 : Tempête à Bordeaux 

 

Du 10 au 16 Octobre 1979, de très fortes pluies continues engendrent des cumuls supérieurs à 450mm sur l’arrière-pays Niçois. Ces fortes pluies provoquent des crues parfois importantes des cours d’eau de la région, évacuées dans la Méditerranée par l’embouchure du Var.

Cumuls de pluie du 10 OCTOBRE 1979 au 15 OCTOBRE  (5 jours) - carte Meteo-France

 

Les nombreux sédiments transportés provoquent une déstabilisation du chantier de l’aéroport de Nice en journée du 16 Octobre 1979, qui s’effondre au fond de la mer. Cet effondrement provoque la formation d’un tsunami (vague de 2 à 4m) s’échouant rapidement sur la région d’Antibes/Cagnes-sur-Mer, on dénombre 7 morts et 3 disparus.

 

Avant/Après l'effondrement du chantier de l'aéroport de Nice - Météo-France - tsunami du 16 octobre 1979 à Nice

 

Les 14 et 26 octobre 1979 : des pluies diluviennes se produisent dans le midi méditerranéen, ce qui provoque localement d’importantes inondations. Le 14 octobre, il tombe 125mm de pluie à Salon de Provence et le 26 octobre, 110mm en 1h à Montpellier et 325mm à Solenzara (sud de la Corse).

 

Cumuls de pluie du 25 octobre 1979 au 27 octobre 1979

 

 

Le mois de décembre 1979 est très agité avec beaucoup de vent, de pluie, de neige et des inondations.

Une première tempête balaye la moitié nord le 11 décembre 1979 - une seconde, le 14 décembre 1979 - une 3ième, le lendemain (15 décembre 1979) - une 4ième le surlendemain (16 décembre 1979 ) et une dernière dans la nuit du 27 au 28 décembre 1979 - il s’agit de la plus violente des cinq - ce très brutal coup de vent provoque de gros dégâts sur tout le quart nord-ouest - les rafales atteignent 169 km/h à Cancale, 161 km/h à Granville, 148 km/h à Quimper, 119 km/h à Nantes-Bouguenais, 115 km/h à Roissy, 112 km/h à Beauvais. A Guingamp (Côtes d'Armor), la montée du Trieux envahit les bas quartiers de la ville.

 

Tempête du 15 décembre 1979 - analyse et météo

 

Tempête du 15 décembre 1979 - rafales de vent maximales

 

17 décembre 1979 : tempête en Bretagne - 6 marins disparaissent en mer

 


Tempête à Brest et Bastia fin décembre 1979

 

22 décembre 1979 : Tempête dans les régions méditerranéennes - cette dépression se forment au nord de l'Algérie et remonte vers la France. Les rafales de vent atteignent 194 km/h au Cap Béar, 162 km/h au Cap-Camarat, 126 km/h à Porquerolles, 115 km/h à Le Levant, 122 km/h à Perpignan, Bastia

 

Tempête du 22 décembre 1979 dans les régions méditerranéennes

Tempête dans les régions méditerranéennes - Rafales de vent maxi du 22 décembre 1979

 

 

Climat et écarts à la normale des températures et des pluies en 1979

Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Montpellier

Meteo-montpellier.fr. est un site météo uniquement dédié à Montpellier. Déjà une référence à Paris (plus de 100 000 visiteurs quotidiens) et dans d’autres grandes villes, ce service météo entièrement gratuit est de grande qualité. Plusieurs météorologistes locaux suivent la situation météo en permanence et réactualisent ainsi leurs prévisions plusieurs fois par jour en les affinant à chaque fois que la situation le nécessite; il en est de même pour les prévisions à 12 jours. Ce qui fait que meteo-montpellier.fr est sans doute le site météo local le plus réactif.

Il a été créé par Guillaume Séchet (webmaster de meteo-villes.com, météorologiste , présentateur sur BFMTV et ex-présentateur à La Chaîne Météo, spécialiste et auteurs d’ouvrages sur les évènements climatiques).

Notre ville de MONTPELLIER

Montpellier (en occitan Montpelhièr) est une commune française, située dans le département de l’Hérault (dont elle est la préfecture) et de la région Languedoc-Roussillon (dont elle est le chef-lieu). Montpellier se situe sur un grand axe de communication joignant l'Espagne à l'ouest, à l'Italie à l'est, proche de la mer Méditerranée (7,1 km).
Sa superficie est de 57 km² pour une altitude située entre 8 et 119 m.
Sa population est d’environ 258.000 habitants.

Le climat de Montpellier est méditerranéen, avec des étés chauds et des hivers doux accompagnés parfois de fortes pluies (épisodes Cévenols liés à la proximité des contreforts du Massif Central sur lesquels les masses d’air humides en provenance de Méditerranée viennent parfois se bloquer lorsqu’un fort courant de sud se lève). Notez quand même que les gelées y sont plus fréquentes que sur la Côte d’Azur car l’air froid qui descend parfois de la vallée du Rhône arrive plus facilement. Notre ville est d’ailleurs située entre l’influence du Mistral et de la Tramontane, d’où des prévisions météo parfois très complexes (ce carrefour climatique en fait l’une des villes Française où le temps est le plus difficile à prévoir !) Il pleut en moyenne 61 jours / an avec un cumul de 629 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 2686 h (le record étant détenu par les Iles du Levant, dans le Var, avec plus de 3000 h par an).

L'histoire de Montpellier : Notre ville vit le jour au cours du XI ème siècle Le comte de Mauguio offre deux manses à Guilhem pour le féliciter de sa loyauté. Les héritiers de Guilhem vont alors développer la grandeur de leur famille à travers le bourg de Montpellier qui cohabitait au côté du village de Montpelliéret, propriété de l'évêque de Maguelone.
C’est au 13è siècle que ces deux villages vont être réunis à l'intérieur de nouveaux remparts fortifiés. En 1204, la ville devient espagnole suite au mariage de la fille de Guilhem VIII, Marie de Montpellier, avec Pierre d'Aragon. Elle sera revendue (la ville) au Roi de France en 1349. Cette période marque aussi un développement économique et culturel de la ville. Les marchands de Montpellier traitaient avec l'Orient l'achat d'épices et de plantes thérapeutiques dont les vertus étaient enseignées dans la toute nouvelle Université de médecine créée au XIIIème siècle. Des écoles de droit et d'art virent également le jour à cette époque. L'Université de Montpellier va se développer et son excellente réputation va attirer des étudiants de tout le Royaume (Rabelais y finit ses études de médecine en 1530).
A la fin du 14è siècle, Montpellier va connaître une période de déclin avec l'arrivée de catastrophes ( épidémies de peste entrecoupées de périodes de famine) qui vont dévaster une partie de la population.
Il faudra attendre le milieu du 15ème siècle avec l'installation de Jacques Coeur, l'argentier du roi Charles VII pour que le commerce redevienne florissant. Seulement, le rattachement de la Provence à la France en 1481 va marquer définitivement la fin de cet essor car Marseille va devenir le premier port de commerce avec l'Orient du Royaume.
Au 16è siècle, l'arrivée de la Réforme à Montpellier va marquer le début d'une ère de luttes religieuses entre catholiques et protestants. Ils vont successivement prendre le contrôle de la ville jusqu'a l'intervention de Louis XIII en 1622. Ses troupes firent le siège de la ville durant trois mois, Richelieu construisit par la suite la citadelle pour surveiller la ville. Ce siège eut pour conséquence le départ de nombreux protestants au profit des Montpelliérains catholiques. Louis XIV, dont la statue trône sur la promenade du Peyrou va faire de Montpellier la capitale administrative du Haut-Languedoc.
Le 17è et le 18è siècle furent le théâtre d'un fort développement architectural avec les travaux de célèbres architectes tels Daviler et les Giral. Ils construisirent la promenade du Peyrou, l'Esplanade et de nombreuses fontaines. De riches hôtels particuliers et églises (Saint Denis) ont également été construits par des hauts fonctionnaires et marchands durant cette période.
Au 19ème siècle la viticulture va fortement se développer, favorisant ainsi un nouvel essor achitectural avec la construction du Palais de justice, de la gare et la reconstruction du théâtre mais aussi de nouvelles églises comme Sainte Anne et Saint Roch. La viticulture, prospère aujourd'hui en Languedoc, a connu une période noire avec le Phylloxera et les problèmes liés à la surproduction.
La ville de Montpellier connaît au 20ème siècle un accroissement important avec en premier lieu l'installation des "pieds noirs" en provenance d'Algérie suivi, à la fin du siècle, de la création de pôles économiques autour de la vieille ville. La Paillade (quartier résidentiel) est le résultat de cet accroissement soudain de la population. La ville va être à l'origine de nombreux projets urbains en réhabilitant des quartiers entiers ou en construisant de nouveaux à la périphérie de cette ville en permanente mutation. Le quartier d’Antigone part de la place de la comédie et du centre commercial du Polygone pour rallier le nouvel Hôtel de Région qui vit ainsi le jour. Suit le quartier de Port Marianne le long des rives du Lez. Pour développer le dynamisme économique de Montpellier, cinq grand pôles d'activités ont été créés. Euromédecine accueillant des laboratoires de recherche, Agropolis pour l'agro-alimentaire, Antenna pour le secteur audiovisuel aujourd'hui en plein développement, Héliopolis pour le développement du tourisme et de la culture très importants en Languedoc, et un pôle informatique s'est créé avec l'implantation d'IBM dans les années soixante suivi par l'entreprise Dell.
Aujourd'hui, la ville de Montpellier est une capitale régionale administrative, économique et culturelle. Ville très touristique, elle offre de nombreux lieux de visites, héritage de son passé médiéval, elle propose aussi de nombreux événements culturels(le festival Montpellier Danse, le Festival international du cinéma méditerranéen). Enfin, le littoral de l'Hérault très riche vous offre des balades, des visites magnifiques sans compter les nombreux loisirs et activités sportives.

Les principaux centres d’intérêt de Montpellier sont : la Basilique Notre-Dame des Tables, la Cathédrale Saint-Pierre, le Château de Mogère, le Châteu d’Ô, la Citadelle, la Fontaine des Trois Grâces, le jardin des plantes, de nombreuses grandes écoles et la Place de la Comédie.